Un thème très actuel qui fait suite à la libération de la parole des femmes, un
dossier qui peut mettre mal à l'aise, plus d'une téléspectatrice ou plus d'un téléspectateur...
Attention toutefois de se garder de voir un prédateur en chaque homme.
C'est réducteur mais c'est parfois cela que l'on entend sur certaines radios ou télés dans la bouche de certaines féministes...peut-être mal intensionnées?
C'est à visage découvert, que six femmes osent briser le tabou des relations sexuelles non consenties.
Elles posent des mots sur une histoire traumatisante, expriment un ressenti et rappellent que l'autre n'avait rien d'un violeur, d'un prédateur sexuel.
C'était un ami, une connaissance, un flirt, un futur mari, qui, ce jour-là, a choisi d'aller plus loin alors qu'elles ne le
souhaitaient pas.
Elles parlent de cet autre qui n'a pas su écouter, comprendre, entendre, décrypter. Un autre qui, sans menace ni violence, est parvenu à ses fins.
Leurs propos font écho, s'entrechoquent.
Chaque histoire est unique et, pourtant, en ressortent une même incompréhension, un même malaise.
Pour info:
Lors d'un échange téléphonique de 45 minutes, je dis au journaliste "1 femme sur 2 victime de violence sexuelle. Dans la majorité des cas, par quelqu'un de leur entourage. Donc ça signifie que les agresseurs sont nombreux. 1 sur 2, 1 sur 3 ? Je ne sais pas. Beaucoup"
— Caroline De Haas (@carolinedehaas) 15 février 2018
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Cette déclaration dans L’Obs de la cofondatrice du mouvement Osez le féminisme fait du bruit sur les réseaux sociaux.