La France accueille des immigrants qui ont bénéficié d'abris en bois dans la commune de Grande-Synthe, lesquelles ont été réduites en cendre ce lundi suite à des confrontations entre passeurs kurdes et afghans, qui se seraient disputés pour le contrôles du camp.

On imagine qu'une enquête va être ouverte sur cette affaire et, si les pyromanes sont identifiés, on espère que ceux-ci seront jugés et enfin expulsés de France, vers leur pays d'origine.

Ces agissements sont inadmissibles et il est temps que l'Etat joue son rôle et que tous les passeurs et consorts qui sont forcément identifiés soient renvoyés chez eux manu militari.

Leurs actions tombent sous le coup de la loi, et il est impensable que ces racketteurs continuent à taxer les migrants et à plus forte raison à détruire les abris de ces derniers...les lois françaises s'appliquent aux nationaux et à toutes personne étrangère se trouvant sur le territoire de notre République.

Il ne doit pas y avoir de zones de non-droit où des personnes mal-intentionnées appliquent leur loi de caïds avec violence.

Maintenant, il va falloir retrouver et ou reconstruire d'autres locaux susceptibles d'accueillir en priorité ceux qui sont à la rue et inutile de dire que ce sont les contribuables français qui seront mis à contribution, une fois de plus.

Ces habitations légères avaient été prises en charge financièrement par la commune d'accueil qui ne sera pas forcément en situation financière de rééditer l'expérience...cette présence d'étrangers migrants sur place dans le Nord est déjà dénoncées par une partie de la population française, inutile de dire que cela ne va pas s'arranger après cette initiative malheureuse.

Bravo pour les coups de pouce donnés à la candidate du FN...ça ne pouvait pas mieux tomber pour elle!

Provisoirement les migrants sans toit ont été abrités dans des gymnases...mais de nombreux migrants seraient "dans la nature", difficile de les retrouver, dit-on.

On mesure le respect que ces passeurs ont pour la France, on peut craindre également que les fonds extorqués aux migrants pourraient, par exemple servir à d'autres trafics (drogues, armes), peut-être même à financer le terrorisme ici et ailleurs dans le monde.

Il ne suffit pas de déclarer que l'on veut lutter contre le terrorisme et de laisser se développer des actions, qui étaient semble-t-il prévues par de nombreux acteurs (associations humanitaires) ainsi qu'élus locaux, et qui peuvent grandement contribuer à l'alimenter!

VIDEOS LA VOIX DU NORD & FRANCEINFO

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MAJ

Un homme exécuté sur l'autoroute A7!

Lundi le 14 avril 2014, en pleine journée, un homme sorti de prison en mars dernier, a été abattu sur l'autoroute A7 qui mène au centre-ville dans le 3ème arrondissement vers 16heures par des hommes armés et cagoulés alors qu'il roulait dans une Clio. Ils l'ont forcé à s'arrêter en pleine voie. Là, ses agresseurs l'ont extrait de son véhicule et l'on tué avec un fusil à pompe et lui ont porté le coup de grâce. Il n'y a plus de gêne de la part des membres du milieu de la cité phocéenne.

C'est le 7ème meurtre lié aux trafics (on imagine de stupéfiants) depuis le début de l'année, dans le département des Bouches du Rhône. Et c'est le 2ème cas de réglement de compte sur l'autoroute, avec de nombreux risques pour les usagers.

Une riveraine aurait déclaré avoir entendu une fusillade et que les automobilistes qui craignaient pour leur vie, quittaient leur voiture pour se jeter à plat ventre sur le bitume de la route.

La victime avait été condamnée après avoir écrasé volontairement un homme à la sortie d'une boîte de nuit ainsi que pour des vols aggravés et des infractions à la législation sur les stupéfiants.

La police scientifique a procédé aux premiers relevés sur les lieux de la scène de crime, quant aux enquêteurs de la pj, ils ont procédé à l'audition des témoins présents.

Le ton est donné!

"Peu importe l'heure, les circonstances, le lieu, quand des individus ont décidé de commettre un règlement de comptes, rien ne les arrête" a déclaré à l'AFP, le responsable de secteur du syndicat de police "Alliance" et qui a ajouté "C'est une chance qu'il n'y ait pas eu de victime collatérale"; oui, mais pourvu que ça dure car, dans ce cas, les automobilistes sont aux premières loges et, si cette pratique se généralisait, des victimes colatérales, il pourrait bien y en avoir...

image jpg par Bertrand Langlois/AFP lun. 14 avr. 2014 et mi-page source quotidien La Provence

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Amiens. Cinq interpellations "en lien direct" avec les affrontements

FRANCE TV: 16 août 2012-Quatre personnes ont notamment été arrêtées dans les quartiers Nord de la ville, précise l'envoyé spécial de France 2.

Après deux nuits d'émeutes, le calme revient dans le quartier d'Amiens-Nord(FRANCE TV)

Des policiers patrouillent dans le quartier d'Amiens-nord (Somme), le 14 août 2012.

FRANCE TV:C'est une des 15 zones de sécurité prioritaires françaises définies par le gouvernement

(image jpg source :GUILLAUME CLEMENT / LE COURRIER PICARD / MAXPPP)

Les faits:Des affrontements qui se sont produits pour la 1ère fois dans la nuit de dimanche 12 au lundi 13 août 2012 puis qui ont été suivis de nouvelles violences dans la nuit suivante, du 13 au 14/08.

La 1ère nuit de violences avaient eu lieu dimanche soir après un contrôle routier mené par la BAC (brigade anticriminalité) d'un automobiliste ayant une conduite dangereuse.

Selon la préfecture: «A la suite de cette intervention, un attroupement hostile s'est formé; des renforts ont dû être dépêchés sur place et les fonctionnaires ont dû faire usage de lacrymogènes et de Flash Ball pour se dégager».

Pour la 2ème nuit, la préfecture a indiqué qu’entre 110 et 115 policiers avaient du être mobilisés.

Lors de sa visite dans le quartier mardi 14 août, Manuel Valls a été accueilli sous les huées rapporte Le Monde. «Rien ne peut excuser qu'on tire sur des policiers, qu'on tire sur des forces de l'ordre et qu'on brûle des équipements publics. (...) La loi, l'ordre républicain et la justice doivent retrouver toute leur place, ici, à Amiens » a déclaré le ministre de l’intérieur lors d’une conférence de presse. La justice devra passer...

Image jpg ci-dessus, source afp:

Arrivée de Manuel Valls à Amiens où se sont produits les affrontements entre des jeunes et les forces de l'ordre dans la nuit du 13 au 14 août.(journal La Croix, lien valide)

vidéo par BFM TV

 Des affrontements violents ont eu lieu toute la nuit de lundi à mardi entre policiers et jeunes dans les quartiers d'Amiens-Nord, faisant d'importants dégâts matériels, dont le saccage d’une école maternelle.

par le Nouvel Obs

Par BFMTV

Les habitants d'Amiens, manifestement excédés par les récentes violences, ont vertement chahuté et hué le ministre de l'Intérieur lors de son arrivée dans la ville. L'escorte de Manuel Valls a donc dû jouer des coudes pour lui permettre d'accéder à la salle où il doit s'exprimer cet après-midi.

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